Biographie
Javier Amaya est née à Pereira, Colombie, en 1956. Il a commencé ses études universitaires en Colombie et en Europe. Il a obtenu sa Licence en Sciences Sociales et Histoire à l’Université de Washington et plus tard il a eu sa maîtrise en Santé Public (MPH) dans la même université.
Sa thèse intitulée « Étude exploratoire sur les connaissances du VIH/SIDA parmi les personnes parlant espagnol », fait une comparaison qualitative des effets de l’éducation de la santé parmi les populations immigrées. Il a travaillé quelques années comme interprète-traducteur de l’anglais à l’espagnol pour divers agences et aussi comme assistant à la Bibliothèque publique de Seattle. Il a participé activement à la promotion des droits de l’homme avec le réseau étatsunien « Colombia Humain Rights Network ».
Dans le cadre de ses fonctions, il a coordonné plusieurs campagnes d’informations, il a traduit et édité de nombreuses publications en espagnol sur la prévention de maladies transmissibles, notamment deux éditions pour le magazine de renom « Vivre positivement », guide pour les personnes séropositives.
Depuis 1986, il travaille également tant que chroniqueur et correspondant. Ses écrits ont été publiés en espagnol, parmi lesquels:
- Journal Colombia Hoy, Bogotá.
- Journal El Amanecer Hispano et La Voz, Seattle.
- The Stranger et The Raven Chronicles, Seattle
- Diario La Opinión, Los Angeles
- Antología Poética Contemporánea, Massachussets
- Journal Crónica Latina, Londres
- Magazine Colombia-Thema, Paris
- Magazine Cambio, Bogotá
- Magazine PULSO, Londres
- Magazine Latino Cultural, Seattle
- Exhibition “Sustainability” – Galerie Benham, Seattle
- Vericuetos. Nouvelles de Paris et d’ailleurs.
Publications
En 1974, Javier Amaya a écrit la pièce de théâtre “Los Comuneros” qui fut joué par la troupe de l’Ecole Deogracias Cardona pendant une saison au Festival Départemental du Théâtre d’ Estudiantin dans sa ville natale. L’œuvre est basée sur les textes de l’historien Colombien Ignacio Torres Giraldo et décrit les mouvements anticoloniaux dans la Nouvelle-Grenade au XVIII siècle.
Entre 1981 et 1983, il a publié les récits «Misael», «Amanecer» et «El Soldado Bueno» dans les suppléments littéraires des journaux «La Tarde», « El Diario del Otún» et le magazine culturel «Nueva Imagen» à Pereira, Colombie.
Revue Vericuetos 27. Conte colombien contemporain et essai.
Anthologie de 28 auteurs. Paris-France. Octobre 2020.
Cuentos de amor y distancia.
Ce livre raconte six histoires où la plupart des personnages sont contraints à l’émigration et l’exil. Au long de ses pèlerinages, ils cherchent à s’adapter à leur nouvel environnement et à trouver l’apaisement dans l’idylle et l’amour. Dans le prologue de Juan Toledo, éditeur culturel à Londres, « L’auteur semble chercher une revendication de l’amour comme expression centrale et universelle de nôtre contemporanéité… »
Ce livre a été publié dans « Galeries » de Broadway à Seattle. En 2008, il a été sélectionné pour être traduit à l’anglais par l’organisation 4Culture de Seattle, dans le cadre du programme 2008 « Individual Projects ».
Crónicas desde Seattle.
Cet ouvrage est une compilation de 28 chroniques publiées précédemment dans divers médias en espagnol en Europe et en Amérique pendant 17 ans. Ce livre contient les commentaires éditoriaux, les analyses des conférences de presse et des entretiens à divers personnes ayant visité Seattle ou ayant des liens avec la ville. Parmi ces personnalités figurent le Nobel de la paix Rigoberta Menchú et Nelson Mandela, les écrivains Carlos Fuentes du Mexique et, Paulo Coelho du Brésil, le sculpteur José Luis Cuevas et les dirigeants politiques Rodrigo Asturias de Guatemala et Lucho Garzon entre autres.
Le prologue a été réalisé par le célèbre romancier Colombien Gustavo Alvarez Gardeazábal. Cet ouvrage a été présenté à Paris au Café Babalú et à la Maison des écrivains Richard Hugo de Seattle.
El fusil para qué.
Il s’agit du titre de son premier roman présenté au public à l’automne 2006. Le livre raconte l’histoire de Preciado, un jeune aux idées révolutionnaires pendant les années 80, qui s’engage dans la guérilla urbaine plein de rêves et inspiré par l’exemple de Cuba. Il cherche à contribuer à l’insurrection et à mettre fin à la barbarie du régime corrompu installé dans son pays, supposé démocratique. À sa grand surprise et après avoir vécu de nombreuses expériences au sein de la guérilla, Preciado arrive à la conclusion que la lutte interne pour le pouvoir, la corruption et la l’influence croissante du narcotrafic, sont des pratiques courantes parmi ses camarades d’armes. Etant dans la guérilla, il rencontre Eva, une femme extraordinaire d’origine paysanne dont il tombe amoureux. Grâce à Eva, il trouve la rédemption spirituelle et la façon de sauver sa vie, en s’échappant ensemble vers un autre pays comme exilés.
À la fin, Preciado réalise, que la violence armée détruit irrémédiablement les victimes et les victimaires. Il conclut que la lutte pour les changements sociaux urgents dans son pays exige la participation massive des citoyens, par des moyens non violents.
Pour l’achèvement de son roman, Javier Amaya a reçu un soutien économique de la Commission d’Arts et Affaires Culturels de la ville de Seattle dans le cadre du programme 2006 « CityArtist Projects ».
Tales of Love and Distance.
Ce livre en anglais se base sur 5 récits écrits, à l’origine, en espagnol et fut traduit par l’agence « House of Writers/Casa de Escritores Inc. » de Seattle, grâce à une bourse de l’organisme des arts 4Culture. Le livre a été illustré et conçu par le photographe Hugo Ludeña et imprimé par Alphagraphics. Son lancement a eu lieu officiellement au siège central de la Bibliothèque Publique de Seattle, avec le soutien additionnel de la revue Latino Cultural.
Servicios de traducción Español – Francés: Rocío Hincapié Sarmiento.
Paris – France.
Vacaciones en Sunnyland.
À début de la décennie des années quatre-vingts, Arnulfo López un jeune homme travailleur sans papiers croise la frontière sud des États-Unis avec l’espérance d’être fait à un avenir et de pouvoir aider à l’économie précaire de sa famille dans son village natal. López réalise plusieurs métiers temporels et quand il croit trouver finalement une ressource stable avec un compatriote connu, tombe dans un piège qui le prive de la liberté. En garde avis, il connaît l’autre visage du “rêve américain” à travers des personnages natifs et étrangers qui partagent ses histoires en étant dans la réclusion.
Pendant qu’il lutte pour être blanchisse, Arnulfo essaie de cacher sa situation à la mère, loin et aussi préoccupée pour lui. Un autre tour familier inespéré, la place au retour de son village natal, après avoir atteint une liberté conditionnelle.
Ce roman s’est initialement présenté, dans le siège du Consulat du Mexique à Seattle en novembre 2010.
Traducción E. Arocha.